L’équipement de l’élève du roseau se compose d’un võ phuc noir et d’une paire de sandales.
Le võ phuc, c’est le kimono. Il est en coton.
Il est léger comme un kimono de karateka, mais il est noir avec un liséré jaune
(Noir et jaune sont les couleurs de l’école). Ce vêtement n’est pas renforcé, à la différence d’un kimono de judo.
La veste est croisée pour les garçons (même coupe qu’une veste de karatéka). Pour les filles, le pan qui se rabat sur la poitrine est un pan coupé : il s’agit d’une veste de « qwankido ».
La veste se noue par des liens intérieurs.
Pas de ceinture en viêt taï chi.
En viêt võ dao, une ceinture blanche, large, avec des barrettes de couleur selon le grade du pratiquant,
puis une ceinture noire avec lisérés rouges. La ceinture des maîtres est rouge avec lisérés jaunes.
[Ce, sous réserve de port d’autres ceintures lors de manifestations inter-écoles de la Fédération. En effet les systèmes de couleur propres à chaque école étant différents, c’est un système autre, propre à la Fédération et commun à toutes les écoles, qui est utilisé lors des rencontres communes. Cela a se met en place depuis 2014 ou 2015].
Pour les garçons comme pour les filles, le pantalon est de coton aussi, et est maintenu par un lacet qui passe dans sa ceinture élastique.
Pantalon et veste sont noirs.
S’adresser à son école pour se procurer son võ phuc et choisir la bonne taille.
L’école fournira également les insignes à coudre dessus.
La paire de sandales (tongs ou zoris) est destinée aux déplacements dans le võ duong (i.e. dans le dojo), hors le tapis d’entraînement sur lequel on ne marche que pieds nus.
Ces sandales sont à acquérir par l’élève lui-même.
Discipline : voir la charte de l’élève de l’école SGS (à St-Geneviève-des-bois, Essonne) ; le Roseau a la même.