Chen 18

AVERTISSEMENT : cet article est un document de travail.
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En vue d’un « flash-mob » de promotion du taï-chi-chuan, du 14 octobre 2017 en Val d’Oise (**) sous l ‘égide de Mme Virginie Gatellier (***), qui a rassemblé une vingtaine de bénévoles (****) venus de divers horizons, j’ai essayé de traduite avec hanzidico,  directement du chinois en français les noms des figures de la séquence à mains nues, de style Chen, dite ‘forme 18’. Voici ce travail.

SOURCES :
a) http://philcheung.com/TaiChi/Chan/OF18.htm (*)
b) http://www.chenstyletaijiquan.net/?page_id=512 (*)
c) les sous-titres de vidéos pédagogiques de CHEN Zhen-Li.

陳式 – 太極拳 – 精要 – 十八式 – 拳套招式
Chén shì – tài jí quán – jīng yāo – shí bā shì – quán tào zhāo shì
Style ancien (dit : style Chen) – Tai-chi-chuan
– L’essentiel – 18 figures – Série à mains nues.

https://www.youtube.com/watch?v=ghktMS9aVaE
(= Nin WANG, de dos)

https://www.youtube.com/watch?v=1jOFNuX-g7k
(= CHEN Hui-Xian, en forêt)
https://www.youtube.com/watch?v=QCy-ZXdDgws
(= CHEN Zheng-Li, de dos.
Il annonce les noms des figures,
et en compte les phases au fur et à mesure de leur exécution)

et, très joli, mais dont un Chinois dirait
« c’est du poing fleur et de la jambe de brocart » :
https://www.youtube.com/watch?v=l8yk848U2LI
(= la grâce d’une gymnaste en blanc – 3 min 40s).

Exercices de style Chen (20 min.) :

https://www.youtube.com/watch?v=wHhM7bdIPFc

CHEN Hui-Xian
Ici : CHEN Hui-Xian dans la position de la fin de la figure n° 3
(rattacher son vêtement).
(Photo tirée de son site internet – adresse : en bas de cette page).
Et voici sa démonstration publique de mars 2012
(elle était alors enceinte de 8 mois ou 8 mois 1/2):
https://www.youtube.com/watch?v=PhIziVbKWbM

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0﹑预备 – yù bèi – (se) préparer.
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1﹑起勢 – qǐ shì – début.

2﹑金剛搗碓 – jīn gāng dǎo duì
la main qui tient le foudre est pilon à broyer.

3﹑攬紮衣- lǎn zā yī – rattacher son vêtement.

4﹑六封四閉 – liù fēng sì bì – six, verrouiller ; quatre, stopper.

5﹑單鞭 – dān biān – fouet.
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6﹑白鵝亮翅 – bái é liàng chì – une oie blanche fait voir ses ailes.
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7﹑斜行 – xié xíng – actions obliques

8﹑摟膝 – lǒu xī – rassembler les mains à hauteur des genoux

9﹑拗步 – ào bù – pas

10﹑掩手肱捶 – lǎn shǒu gōng chuí
(une main) bloque une (autre) main ; un bras estoque (cogne).

11﹑高探馬 – gāo tàn mǎ – quant à sa hauteur, évaluer un cheval.
————————————————————————————-12﹑左蹬一根 – zuǒ dèng  yī gēn
repousser du pied gauche, à gauche,
d’un coup de pied latéral rectiligne comme 1 bâton d’encens.

13﹑玉女穿梭 – yù nǚ chuān suō
la fille de jade enfonce une navette.

14﹑運手 – yùn shǒu – mouvoir les mains.
————————————————————————————-15﹑轉身擺蓮 – zhuàn shēn bǎi lián
volter ;  faire le lotus.

16﹑當頭炮 – dāng tóu pào
canons directs (*)

17﹑金剛搗碓 – jīn gāng dǎo duì – (idem n° 3).
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18
﹑收勢 – shōu shì – fin.
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Un article de Michael P.  GAROFALO, qui, je crois, vit en Floride :
http://www.egreenway.com/taichichuan/chenshort18.htm



NOTES

1
Des différences sens du mot shì, c’est le sens de « figure »
qui n’est pas dans les dictionnaires, que je retiens ici.
Dans le contexte du yoga, je traduirais par posture,
mais cela évoque quelque chose de statique, à la différence de ‘figure’ qui, en patinage artistique renvoie à quelque chose de dynamique. D’où : figure (= suite ordonnée de mouvements).

2金剛 – jīn gāng dǎo duì

金剛 (jīn-gāng) = vajra (वज्र), en sanscrit.
En sanscrit, c’est à la fois le diamant et la foudre, arme d’Indra.
C’est aussi le foudre.
Les moines bouddhistes du monastère tantrique de  Gyüto (au nord de l’Inde) le tiennent d’une main, horizontal, et la cloche de l’autre, verticale, pendant certaines de leurs psalmodies.
foudre et cloche
Réf.: (https : // www. zambala .com. tw /webfile /webdata /Image /201706 /287Y金剛鈴杵.jpg)

金 (jīn) = or, argent
剛 (gāng) = fort, ferme, dur ; …

金 剛 (jīn gāng) = Vajra =
Buddha’s warrior attendant, diamond, …,,
mais aussi foudre (cf. ci-dessus).

搗 (dǎo) = broyer, piler, pénétrer, battre
碓 (duì) = pilon pour décortiquer le riz

1ère possibilité  envisagée :
Le pilon (duì) avec lequel Jing-Gang pile (dǎo).
[Deux fois, Vajra (Jing-Gang) lève, puis laisse tomber son outil (son poing) dans le mortier (la paume de son autre main, formée en creux)].

臼 (jiù) = mortier
Ce mot ne figurant pas dans la phrase chinois, il n’a pas à figurer dans la phrase en français. Contrairement à ce qu’on lit partout, aussi bien en français qu’en anglais.

Analyse logique :
1./ sujet ; 2./ attribut du sujet ;
celui-ci étant composé de [2.a./ déterminant ; 2.b/ déterminé],
(l’élément qui précise ce dont on va parler, est énoncé d’abord).
D’où : 1./ Foudre ; (est, verbe à fonction de charnière. Existe en français. Peut être sous-entendu en français. N’existe pas en chinois). 2.a/ (à) broyer. 2.b/ (un, article indéfini. Paraît préférable à un article défini. Peut être omis) pilon.
Ce qui donne : Foudre est pilon à broyer.
Ce peut être aussi :
(La main qui tient le) foudre est pilon à broyer.
On ne dira pas « pilon à piler », car ce serait un pléonasme.
Le moine en prière tient sa foudre posée sur la paume de sa main ouverte et en supination. Refermer en poing cette  main et la laisser choir dans le creux de l’autre main, c’est le geste ici effectué.

3﹑- 攬 : voir ci-après ;
– 紮 : va avec 攬 et en précise le sens ;
– 衣 : vêtement.
– 衣 se dit : OU yì.
Les deux prononciations existent et ont même sens.

攬 , serrer dans ses bras, comporte l’idée d’arquer les bras – c’est le début du mouvement – c’est la circulation du qi  le long de l’arc thoracique dont parle Yang, Jwing-Ming, dans La théorie du taïchi-chuan, Budo éditions, 2007, pages 169 et 170 et aussi page 176, celle de définition du terme Peng, avec la photo qui forme la figure 8.1. Se rappeler aussi que le jin – la réserve de force – s’accumule dans les courbes. Et, parmi les 10 principes de Yang-Cheng-Fu, le n° 2 :  relâcher la poitrine et étirer le dos [Relâcher la poitrine de façon que celle-ci rentre légèrement vers l’intérieur…| Traduction de Véronique Legras, de l’école de la sagesse du dragon, de Bordeaux, qui existait déjà en septembre 2003, j’ai un souvenir précis qui me permet d’affirmer cela]. Mais ici  紮, qui a le sens de lier, stopper fait que des sens de ‘serrer dans ses bras’, ‘attacher’, qu’a 攬, on doit choisir ‘attacher’. D’où, pour 攬紮衣 : rattacher vêtement.  On dira ‘son vêtement’, car l’analyse du mouvement dit que c’est du sien dont on s’occupe.

4﹑六封四閉 – liù fēng sì bì –
à l’imitation de l’idéogramme qui représente le chiffre six,
étendre un bras, tirer circulairement vers l’arrière, étendre l’autre bras puis, la main droite sur la poitrine verrouiller la position. Haut les mains, ensuite, à l’imitation de l’idéogramme qui représente le chiffre quatre, puis stopper quelque chose et le repousser, comme fait au football le gardien de but avec le ballon adverse. Bì, c’est aussi barrer le chemin, obstruer un passage, comme fait un hallebardier devant une porte qu’il garde.

5﹑單鞭dān biān – fouet.
單 marque le singulier, l’unicité ;
鞭, c’est fouet.
Peut-être compris comme coup de fouet, manche de fouet.
Diverses interprétations sont possibles, relatives aux mouvements du bras droit, des hanches, du bras gauche. Polysémie du chinois.

6﹑白鵝亮翅 – bái é liàng chì
Il s’agit ici (style Chen) d’une oie blanche.
Même action cependant que la grue blanche en style Yang.

7﹑斜行xié xíng
litt.: actions obliques, au pluriel, parce qu’on progresse d’un demi-pas, le long d’une diagonale avant-gauche ; mais aussi parce qu’on se penche.  Et puis le verbe xíng veut dire à la fois marcher et agir.

8﹑摟膝 – lǒu xī
brosser le genou (traduction usuelle)

J’ai traduit par : empaumer le genou.
Lǒu, c’est enserrer, mais en taï-chi Yang de combat, la paume n’est que posée sur le genou levé, qui pousse ensuite la jambe du pied qui frappe ; par contre, en forme interne, la main descend et, passant près du genou avancé, écarte quelque chose vers le bas puis vers l’extérieur
].

9﹑拗步 – ào bù
pas hanché / pas hanchés
(Il y a

 

en a 3). Un léger pivotement du bassin autour de la colonne vertébrale fait avancer la hanche, puis  la jambe part en avant, sur cette impulsion.

Le mouvement du bassin génère le pas. Le mouvement part du bassin.

Cf. le 3ème des 10 principes de Yang, Cheng-Fu :
3.  Relâcher la taille — « La taille est le gouverneur de tout le corps. …Le centre de commandement se trouve dans la taille. L’absence de force est essentiellement due à un mauvais emploi de la taille et des jambes« ).

L’idéogramme chinois 拗 renvoie à la technique du filage d’un fil de soie (dessin du centre), à la main (dessin de gauche) tandis que celle-ci exerce une force (dessin de droite) de traction sur des brins de matière à filer, et les assemble par torsade – idée retenue ici – tout en tirant.

En Yang, j’ai traduit lǒu xī ào bù par ’empaumer genou, pas vrillé’. Il faudra que je corrige  cela.

Le ào bù d’ici a une certaine ressemblance avec la suite de deux « presser » qui est le mvt n° 6 de la forme 48.

10﹑掩手肱捶 – lǎn shǒu gōng chuí
1ère traduction : cachée par une main, l’autre (*) estoque
– lǎn – serrer dans ses bras, attacher
– 手shǒu – main
– 肱 gōng – humérus (donc, ici : bras)
– chuí – battre, piler, marteler
(*) Certes, le texte chinois porte 手 – main – puis 肱 – bras – mais comme ce n’est pas  un bras  qui peut frapper comme la tête d’un marteau (chuí zi) – mais la main ou le poing qui sont au bout de ce bras, d’où la traduction « l’autre ».  En escrime, frapper d’estoc, c’est frapper de la pointe. L’estocade, c’est un coup de pointe, direct (cf. en tauromachie). Ici, donnant à estoquer le sens de donner un coup direct, tout droit, le plus simple possible, en l’espèce un coup de poing, je traduis   (chuí) par : estoquer.

2ème traduction : cf. plus haut.
En faisant l’exercice, j’ai trouvé une solution, pour garder le mot bras (mais pas parfaite puisque je dis bras au sens d’avant-bras,  alors que, d’après le dictionnaire, le chinois dit : la partie haute du bras). Cette traduction est un aide-mémoire pour se souvenir qu’à la fin du n° 09, on placera l’avant-bras droit sous la main gauche.

10
Pour garder l’effet de surprise, ne fermer la main droite en poing que lorsqu’elle aura été reculée près du flanc droit. Cogner ensuite.

11﹑高探馬 – gāo tàn mǎ – quant à sa hauteur, évaluer un cheval [litt.: haut, sonder, cheval.
Au sens premier de ce mot, une sonde, c’est une perche qu’on enfonce dans l’eau d’un étang, par exemple, jusqu’à toucher le fond, pour évaluer la profondeur d’eau sous la surface du plan d’eau].

12
N.B. : c’est le bord extérieur du pied qui agit, pas la plante du pied.

13﹑玉女穿梭 – yù nǚ chuān suō –
la fille de jade enfonce (sa) navette
Autrement dit : elle duite, c’est à dire qu’elle conduit le fil de trame entre les fils de chaîne qui vont emprisonner le fil de trame.

Sa navette, le tisserand l’enfonce  dans la foule qui est un espace entre deux nappes de fils de chaîne, aménagé par son métier à tisser.  Voir à Marle (Aisne), au musée en plein air des temps mérovingiens, la reconstitution d’un métier à tisser. La navette, quant à elle, porte le fil de trame. La fille de jade est une princesse mais elle est aussi tisserande : elle tisse. Elle aime un bouvier. Pour éviter une mésalliance, les parents sépareront les amoureux et mettront entre eux la Voie lactée. Au ciel, la fille de jade, c’est notre constellation de la Vierge ;  et le bouvier, notre constellation du Bouvier. La fille de jade n’est pas en pierre, mais en chair et en os, dans la légende. Le mot ‘jade’ a subi un glissement de sens. Comme cette pierre est la pierre de l’empereur, le jade en est venu à désigner l’empereur lui-même. La fille de jade est donc une fille de l’empereur. C’est pourquoi j’ai dit que c’est une princesse. Elle s’appelle Zhi Nu (c’est écrit à la page 107 du livre Théorie du taïchi-chuan / Les racines du taïchi-chuan, de Yang-Jwing-Ming –Budo éditions, 2007).

14﹑運手 – yùn shǒu – mouvoir les mains
au lieu de
14﹑雲手 – yún shǒu – mains nuages.
(je suis la correction indiquée par Tchiang, de Madison, Wisconsin).

15﹑轉身擺蓮
轉身 –
zhuàn (tourner),
shēn (= le corps ; mais aussi : soi-même ; –> ici : sur soi-même).
D’où : se tourner. D’où : volter.

擺 bǎi (agiter, arranger, poser) ;

蓮 lián (lotus).
Ce qu’on retient du lotus, c’est la forme grosso modo circulaire du pourtour de sa fleur. Aussi ‘bǎi lián’ est à prendre au sens figuré de « tracer un cercle » (avec la pointe du pied), et non pas au sens au sens propre, d’arranger des fleurs de lotus.

note.
Discutons les expressions
–>  轉身雙白莲
–>  转身双白莲
1°)
–>  白 (băi) = blanc
–> 擺 (băi) = arranger, disposer

), le mot [= jumeau], normalement devrait porter sur 轉身 [‘zhuàn shēn’ = tourner sur soi-même]. ne porte pas sur le verbe 擺 bǎi, puisqu’il n’y a qu’un seul coup de pied circulaire, mais sur  Car on effectue, disons, un tourné-détourné, une volte suivie d’une contre-volte.
Je ne comprends pas pourquoi n’est pas mis devant 轉身,
mais c’est ainsi.

dān băi lián (單擺蓮).
Les traductions qui comportent des « et », celles qui comportent des « avec », sont fausses aussi.  Car la volte [‘zhuàn shēn’] = tourner sur soi-même] et le coup de pied circulaire [‘bǎi lian’ = faire (?) le lotus] sont deux actions successives indépendantes l’une de l’autre.

Rien de tout ceci n’est bon, par conséquent :
– turn body with double lotus kick (Phil Cheung)/
– turn body and double wave lotus (/Hou Fred, sur You Tube).
– ‘Zhuan shen shuang bai lian’. (Tchiang)
转身双白莲
轉身雙白莲
Et en plus, ce qu’i a écrit là, c’est « double lotus blanc » !!!
Donc, ici, Tchiang se trompe carrément.

16﹑當頭炮 – dāng tóu pào
canons directs (*)
(* : bien que tóu pào = au-dessus de la tête.
Il s’agit d’une frappe simultanée des deux poings, devant soi et face à soi, laquelle frappe vise le haut de la poitrine de l’adversaire).

Voici la traduction littérale de l’expression
– 當頭炮 (T)
– 当头炮 (S)

1°) = = dāng tóu = au-dessus de la tête (au sens propre) ;
en haut (dans un sens figuré)
2°)  炮 = pào = canon, canons (ici).
Il s’agit d’une explosion de force, d’une paire de forces, en fait.

n.b.: Le 炮捶 (pào chuí)
[où 捶 (chuí) = bâtonner, battre, piler, marteler]
est le premier enchaînement de ‘boxe martiale’ de la famille Chen.
(Chef de famille : Chen, Chang-Xing [1771-1853]).
(Ce, d’après « Nouvelle lecture du taijiquan », par Antoine Ly et Marianne Plouvier, Librairie You-Feng, 2013, page 12).

Site de Chen Huixian : http://www.kctaiji.com
Hui-Xian est la nièce de Chen, Zheng-Li,
et celui-ci est le créateur de la séquence ‘Chen 18’.

VIDEOS PEDAGOGIQUES

Applications martiales du style Chen :
https://www.youtube.com/watch?v=d5L7uz8B8X4

(- De 6 min 17s à 6 min 23s pour la figure
3﹑攬紮衣- lǎn zā yī – rattacher son vêtement).

N.B. Et de 4.13 à 4.20,
c’est ye2 ma3 fen1 zong1 (le cheval sauvage – moi – scinde sa crinière – sépare mes bras), figure qui est au début de Yang 24.

Les 2 coups de pied successifs en 2ème partie sont montrés ici :

Et aussi :
(Chaque vidéo commence par les mêmes échauffements, puis il y a présentation générale du quyên à partir de 6 min 24 s. le cours spécifique à chaque figure commence vers 10 min 40 s).

Numéros ci-après : comme sur liste ci-dessus. D’où les écarts de 1, pour la moitié des items, entre les numéros de cette liste et ceux fournis par les vidéos, écarts expliqués plus haut).

1https://www.youtube.com/watch?v=reegGLsohTk
2https://www.youtube.com/watch?v=V9BtlgmJVAI
3https://www.youtube.com/watch?v=m1WXJNtFwBU
4https://www.youtube.com/watch?v=-Yr13Cy-gYY (*)
5https://www.youtube.com/watch?v=vlgy-gJU1to
6https://www.youtube.com/watch?v=PmbHVCrC6rA
7https://www.youtube.com/watch?v=jhzhQ0cVkCQ
8https://www.youtube.com/watch?v=5FZV5vykdX8
9https://www.youtube.com/watch?v=HbGE_wCGk8g
10https://www.youtube.com/watch?v=PJvLC_YFbNk
11https://www.youtube.com/watch?v=pg_k9YhaLXk
12https://www.youtube.com/watch?v=wH_a3QJI_A0
13https://www.youtube.com/watch?v=PMuL3WaEcm8
14https://www.youtube.com/watch?v=_jSmvv0J748
15https://www.youtube.com/watch?v=G24TtlUHqko
16https://www.youtube.com/watch?v=NL4e94kaohs
17https://www.youtube.com/watch?v=NBd9Mum2khY
18https://www.youtube.com/watch?v=HQrwPiNfX50

(*) autre adresse du 4 :
4https://www.youtube.com/watch?v=398pTxsusaM

Et puis,
le début :
https://www.youtube.com/watch?v=8SEl6NOCnO0
https://www.youtube.com/watch?v=mTIrOkKKyU4
https://www.youtube.com/watch?v=okXJepZ7YEo
https://www.youtube.com/watch?v=dyK4o_jO0LU
https://www.youtube.com/watch?v=5UFHWj0vjVw

 

N.B.
La forme Chen longue (75 mouvements, 1/4h) est ici, par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=iMUgovp-R-s
La forme 18 est un assemblage de figures de la forme 75.

Dans cette vidéo-ci, on apprendra la genèse du style Yang à partir du syle Chen (et c’est l’histoire racontée du point de vue Chen) :
https://www.youtube.com/watch?v=AbOOFQJkY6g .

Applications martiales :
– du taï-chi de style Chen (exemple : la forme 18 ci-dessus) :
https://www.youtube.com/watch?v=d5L7uz8B8X4
– du taï-chi de style Yang
(exemples : nos « formes » des « 24 images » et des « 48 images ») :
https://www.youtube.com/watch?v=ecjnoijaOyg
– du taï-chi de style Wu
(pas d’exemple à mains nues chez nous,
mais on a ‘sau cap dao’, au sabre) :
https://www.youtube.com/watch?v=plCMN31XZAA

Qi et force, et … interpénétration des qi !
https://www.youtube.com/watch?v=Holnh-VEysA

Une comparaison de la « forme » de taï-chi et de la séquence martiale à laquelle elle prépare, c’est dans cette vidéo, de 7.20 à 8.14 .

(*)

(**) En Val d’Oise : à Cergy,
au centre commercial Auchan des 3 fontaines.

(***) Présentation de Virginie Gatellier (juillet 2016) :
http://visvictus.com/tai-chi-master-virginie-gatellier/

(****) Estimation de la participation, à un mois de l’évènement.

Post-scriptum :
https://www.youtube.com/watch?v=Q49uhrUmkXM