entraînement et progression

Chez SGS (Ste-Geneviève sports, école de viêt-vo-dao Trung Hoa), sous le titre « l’entraînement » on trouvera un article remarquable :

– présentation générale de l’entraînement (cadre et objectifs)

– plus des liens internes vers les facettes de l’entraînement que sont :

—- l’échauffement,
—- le travail technique,
—- le développement des réflexes,
—- les quyêns
(les quyêns sont au viêt võ et au viêt-taï-chi ce que sont les katas au judo, au jiu-jitsu et au karaté, ce que sont les taolu au taijiquan ;
à la différence que l’élève en aborde l’étude très rapidement dans son cursus)
—- les combats

– exposé des degrés de la progression technique, sanctionnés par un examen appelé passage de grade.

Voir aussi sur le présent portail, en 3.7, l’article « die drei Säulen« . (C’est de l’allemand et ça veut dire « les trois piliers »).

Ce qui précède concerne le võ, c’est-à-dire l’art martial (trài , c’est battre des mains (= applaudir), , c’est se battre, mais aussi le savoir se battre ; viêt , c’est l’art martial vietnamien) [**].

En viêt-taï-chi, la séquence d’entraînement est la suivante :

– méditation (avant la leçon !)
– salut
– échauffement constitué d’une séance d’assouplissements et d’étirements
– travail des quyêns (à mains nues, avec armes) [**]
qi-gong (*)
– courte méditation
– salut
– applaudisssements

(*) mot chinois. Le piyin s’écrit sans trait d’union, avec soudure des 2 syllabes. Mais je refuse cette simplification qui gomme le fait qu’on a affaire à un mot composé (un seul terme constitué de deux éléments le formant). En effet, cette soi-disant simplification a pour effet de rendre plus difficile la compréhension du sens du mot, à qui le voit pour une première fois.  De la même façon, j’aurais du écrire tai-ji-quan (= taï chi chuan) et tao-lu.
[**] Les accents ne sont pas justes, mais je tape au plus vite.